Mbaye Niang, les chevaux, c’est son dada
Mbaye Niang, l’attaquant des Lions du Sénégal a un amour pour les chevaux. Ce qui le place parmi les sportifs qui en possèdent beaucoup. Il suivra peut-être le célèbre Qatar Prix de l’Arc de Triomphe qui se déroule ce dimanche à Longchamp, renseigne L’Equipe.
M’Baye Niang, l’irrésistible
L’attaquant
sénégalais a découvert les courses hippiques au Stade Rennais aux côtés
de son ancien partenaire Benjamin André, lui-même propriétaire. Pris de
passion, il s’est lancé dans l’aventure et possède déjà dix chevaux.
M’Baye Niang aime faire les choses en grand. En mai, il n’a ainsi pas
hésité à braver le huis clos imposé par le confinement et une amende de
1500 euros pour assister à la course de l’un de ses protégés à
l’hippodrome de Vivaux, à Marseille.
Tony Parker, le dernier arrivé
Première
course le 28 août à l’hippodrome de Clairefontaine et déjà vainqueur.
Le président de l’Asvel est décidément un winner. Le touche-à-tout a
récemment ajouté les courses hippiques à son CV en devenant le
copropriétaire de Best Win, une pouliche de deux ans. Petit clin d’oeil à
son glorieux passé de basketteur, sa casaque est aux couleurs (noir et
blanc) des Spurs de San Antonio.
Clément Lenglet, le cadet
À
25 ans, le Picard est l’un des plus jeunes sportifs propriétaires de
chevaux de course. Le défenseur du Barça est un habitué des courses
hippiques, qui ont rythmé son enfance. Avec son père, en 2019, il a
fondé l’écurie Lenglet, qui accueille deux galopeurs, Perle d’Ivoire et
Bois d’Argent. Celui-ci lui a rapidement offert une première victoire en
mai, qu’il a évidemment débriefée avec son coéquipier Antoine
Griezmann.
Antoine Griezmann, l’ambitieux
L’intérêt de l’attaquant du FC Barcelone pour l’hippisme n’est pas nouveau. Initié par son père, il a sauté le pas en 2017. Depuis, il s’est constitué une écurie d’une dizaine de chevaux et a récemment à nouveau investi, cette fois 307 000 euros lors des ventes de Deauville, pour acquérir quatre pur-sang anglais. Car il ne cache pas son rêve de courir un jour le Grand Prix d’Amérique ou celui de l’Arc de Triomphe.