“Où était Ousmane Sonko, lorsque ses militants et sympathisants l’exigeaient dans les réseaux sociaux en évoquant les marchés qui sont restés ouverts, et la décision de l’Etat de faire reprendre les cours aux classes d’examens à partir du 2 juin prochain?”, demande Ibrahima Sène, leader du Parti de l’indépendance et du travail (PIT).

Soulèvement…

Selon Ibrahima Sène, aujourd’hui, à les entendre (Ousmane Sonko  et Imam Makhtar Kanté), on dirait que, n’ayant pas obtenu un soulèvement massif des musulmans contre la fermeture des mosquées, qu’ils souhaitaient,ils changent de fusil d’épaule, en espérant que se produisent leurs attentes lorsque l’entrée aux mosquées va être refusée à beaucoup de musulmans.

Alibis…

“Avec leurs discours actuels, l’on dirait que ces deux islamistes cherchent des alibis pour pouvoir clamer leur innocence lorsque des troubles seront occasionnées devant les mosquées”, déclare M. Sène.