Sans club depuis juin après son départ du FC Séville, Sergio Ramos, 38 ans, est en quête d’un nouveau challenge. Comme le rapporte AS, le club de Zamalek, en Egypte, serait prêt à s’aligner sur les exigences salariales du défenseur espagnol.
Brésil, MLS, Turquie, Arabie saoudite… De nombreuses destinations ont été proposées à Sergio Ramos, libre de tout contrat depuis le début de l’été. Si la piste du San Diego FC, nouveau venu dans le championnat américain, semblait la plus sérieuse après une très belle proposition, les négociations semblent au point mort. 
Comme le reste des offres reçues par le défenseur central. Selon Estadio Deportivo et des médias brésiliens, le Grêmio avait même dans l’idée de s’offrir l’Espagnol et son ex-coéquipier du PSG et du Real Madrid Keylor Navas, lui aussi libre. Mais les 500.000 euros mensuels exigés par Ramos ont mis un coup de frein aux négociations du club de Porto Alegre. Un nouvel acteur a donc surgi dans le dossier: le Zamalek, célèbre club égyptien, qui serait prêt à s’aligner sur les demandes de l’ancien cadre de la Roja.

Zamalek prêt à faire le gros coup
« Zamalek est un grand club et mérite des footballeurs comme ceux-là. Nous considérerions un accord avec Ramos comme quelque chose de positif non seulement sur le plan sportif, mais aussi sur le plan marketing. Le joueur est libre et ce serait un grand avantage de l’embaucher. N’importe quel club dans le monde veut Ramos”, a indiqué à la télévision nationale Ali Hisham Nasr, fils du vice-président du club. De son côté, Omar Zaalouk, un intermédiaire du club égyptien, a lui aussi évoqué le sujet: « Les pourparlers ne sont pas terminés, ils ont simplement été reportés jusqu’après la Supercoupe d’Afrique ».  
L’entourage de l’Espagnol affirme qu’aucune offre n’a été faite de la part du club. Une situation qui devrait être rapidement réglée puisque la finale de la Supercoupe d’Afrique se jouera ce vendredi soir à 20h. Le Zamalek se déplace à Riyad et affrontera son rival national Al Ahly pour espérer repartir avec le trophée pour la cinquième fois de son histoire.