Ziguinchor : Le point focal de la société civile au Comité du PGO s’offusque de l’arrestation de Pape Alé Niang
L’arrestation du journaliste d’investigation Pape Alé Niang fait couler toujours beaucoup d’encre. Celle-ci remet à la limite sur table la lancinante question relative à la liberté de la presse. C’est du moins la conviction de Abdoulaye Ndiaye, point focal de la société civile au niveau du comité du PGO (Partenariat pour le Gouvernement Ouvert).
Interpellé sur cette question liée à l’arrestation du journaliste, il affirme que les journalistes doivent avoir complètement la liberté d’effectuer leur travail. » Il y a aujourd’hui nécessité que tous les journalistes à partir d’aujourd’hui soient laissés, qu’ils aient la liberté de faire leur travail de manière convenable », exige Abdoulaye Ndiaye.
Selon lui, le journaliste doit être protégé. En plus
le journaliste a des sources qu’il doit protéger et, tant que les
questions ne touchent pas la sécurité ou ne déstabilisent pas la nation,
ces informations peuvent être divulguées.
L’arrestation
de Pape Alé Niang remet sur la table la lancinante question relative à
la liberté de la presse, de l’avis de Abdoulaye Ndiaye, chargé de
programme de » l’article 19 Afrique de l’ouest » . Ce dernier s’est
exprimé ainsi à l’issue de deux jours de travaux d’appropriation et de
dissémination du Plan d’Action National (PAN) Partenariat pour le
Gouvernement Ouvert (PGO), à Ziguinchor.