Robin Ramaekers, correspondant de guerre au Liban pour VTM, et son caméraman Stijn De Smet, ont été pris pour cible à Beyrouth ce mercredi lors d’un reportage sur le site visé par une frappe israélienne. Leurs premières réactions recueillies par Het Laatste Nieuws.

La frappe israélienne a visé un centre de secours suspecté d’abriter un commandement du Hezbollah dans le quartier de Bachoura, près du centre historique de Beyrouth. Les deux journalistes de VTM étaient en train de réaliser un reportage dans cette zone, non loin de leur hôtel, et portaient tous deux des gilets “PRESS”, quand ils ont été violemment pris à partie par une “foule en colère”, selon la VRT. Une vingtaine de personnes les auraient en effet accusés d’espionnage au profit d’Israël.