Abdoulaye Sylla, animateur : « Le « Goor dou projet », c’est pour satisfaire leur libido avec des sextoys, concombres, Dove… »

Abdoulaye Sylla, animateur : « Le « Goor dou projet », c’est pour satisfaire leur libido avec des sextoys, concombres, Dove… »

« Goor dou projet ».  C’est le tout nouveau slogan de certaines femmes célibataires ou divorcées pour se défaire de la tradition qui dit que « seey moy taaru Jiguen ». Elles sont de plus en plus nombreuses à se proclamer indépendantes, autonomes et concentrées sur leur avenir sans la présence d’un homme. 

Un sujet qui intéresse l’animateur de l’émission «Biir neek» qui traite d’importants thèmes de sociétés sur iRadio.
Interrogé par Seneweb, le chef du desk photo du groupe Emedia, Abdoulaye Sylla, tance les tenants de cette philosophie de vie. 
Il y décèle  une  déperdition de la jeunesse puisque que « Dieu a créé les hommes et les femmes pour qu’ils se mutualisent, forment une famille en communion d’amour. Surtout que la femme a été créée d’une partie de l’homme ». 

A en croire l’homme de médias, ces femmes qui veulent exclure les hommes de leurs vies le font pour des raisons pas nettes. «  Beaucoup d’entre elles utilisent des sextoys, d’autres objets comme concombre pour satisfaire leur libido. Pire, la dernière tendance qu’on connaît tous qui est le déodorant de la marque Dove qu’elles utilisent pour grimper aux rideaux… Elles sont vraiment pitoyables  en voulant faire les dures, les femmes indépendantes ». 
Selon  Sylla, les parents ont également une grande part de responsabilité. « Aujourd’hui c’est internet qui éduque et apprend tout aux enfants. Même quand elles sont en âge de mariage elles ne voudront pas franchir le pas parce qu’elles ne savent ni cuisiner, ni gérer un foyer. D’autres qui sont déjà dans les liens du mariage, une fois installées, voudront perpétuer leurs mauvaises habitudes de célibataires. Elle n’acceptent pas le « kiliftef » (autorité) et profitent de la moindre occasion pour divorcer. Malheureusement elles confondent liberté et libertinage », souligne-t-il. 
L’homme très renseigné sur ce qui se passe de pointer du doigt « une autre catégorie des filles qui ne connaissent rien, qui pensent que la vie s’arrête au bout de leur nez. Elles mènent la belle vie, louent des appartements pour fumer, se droguer, boire de l’alcool, s’évader et c’est d’ailleurs pourquoi il y a beaucoup de lesbiennes de nos jours. Si des filles se font plaisir entre elles, l’homme ne fera jamais partie de leur projet ». 

Souare Mansour

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Si vous souhaitez recevoir votre revue de presse par email chaque matin, abonnez ici !