Massification dans 15 communes du Département de Thiès : Les mises en garde de « Magi Pastef »
Le nouveau
coordonnateur du bureau départemental «Magi Pastef/Thiès», Ousseynou
Hann, a décerné une mention spéciale au comité de pilotage composé en
particulier des doyens Demba Diop et El Hadji Moustapha Kane, qui,
durant plus de 5 mois, n’ont ménagé aucun effort pour « aplanir les
divergences et contradictions ».
Ce
travail a permis la mise en place d’un bureau départemental consensuel.
Celui-ci est constitué par les «Magi Pastef-Les Patriotes» dans les 15
communes du Département de Thiès. Le Coordonnateur de ladite structure
et ses camarades s’offusquent du fait que « notre pays traverse une
période de crise sans précédent, exacerbée par une pouvoir narcissique
».
Pour
cette organisation, au Sénégal, on a : « une démocratie en lambeaux ;
une justice chancelante et partisane ; une politique deux poids deux
mesures ; une mal gouvernance économique, sociale, judiciaire, politique
».
Selon
les Magi Pastef du Département de Thiès, « Le combat primordial pour
nous Africains, en particulier sénégalais, c’est la lutte afin de
circonscrire les pouvoirs sans limite de nos dirigeants qui les
retournent contre leur peuple en les utilisant sans limite à travers :
l’intimidation ; le mépris de leurs populations ; l’instrumentalisation
de la justice ; entre autres ».
Les
membres de cette organisation ne comptent pas se laisser faire face aux
tentatives d’instauration de la peur, des intimidations entre autres.
«
Cela ne nous fait pas peur. Le Sénégal en vaut la peine et au péril de
nos vies nous le défendrons de toute notre énergie sur tous les plans ».
Pour
Pastef-Les Patriotes du département de Thiès, « redonner aux
institutions sociales leur lustre d’antan est un défi majeur du
changement ». Et c’est d’ailleurs sous ce rapport, remarque Ousseynou
Hann et ses camarades, que le Parti a décidé de mettre en place, à tous
les niveaux (national, départemental et communal), la structure Magi
Pastef ». Ils ont dégagé quelques perspectives à savoir « la mise en
place des 15 sections communales, l’accompagnement de nos électeurs en
particulier les primo-votants ».
D’ailleurs,
les membres ont reconnu que le chemin sera long et parsemé d’embûches.
Mais pour eux, le plus important, c’est de laisser aux générations
futures un pays où tous les citoyens sont d’égale dignité où l’injustice
est bannie.