A côté des populations civiles, la presse est également éprouvée en Ukraine où la guerre déclenchée par la Russie continue de faire des victimes et de nombreux blessés. « Ils ont clairement tiré pour tuer », condamne-t-on après l’attaque qui a visé le photographe suisse Guillaume Briquet. Ce dernier a échappé de peu hier aux balles d’un commando russe, sur une route dans le sud de l’Ukraine, informe une source qui précise que les marquages « presse » étaient bien visibles sur sa voiture.