Les lutteurs refusent d’être recrutés comme nervis par les politiciens
Prise de conscience chez les lutteurs. Les «gros bras» de l’arène sénégalaise refusent d’être utilisés par les responsables politiques comme nervis lors de leurs manifestations politiques.
En conclave à Thiès, relate L’as, les lutteurs veulent gagner dignement leur vie sans être des «sbires» d’hommes politiques.
Ils
se sont retrouvés dans la capitale du Rail à l’occasion d’une rencontre
organisée par le collectif «Taxawu Lamb», en présence de Gris Bordeaux.
Le
3e Tigre de Fass, par ailleurs président de l’association des lutteurs
en activité, a fustigé toute intention d’installer des clans entre
lutteurs.