Le fils de Serigne Modou Kara répond à Madiambal : ‘’ Haine ou hypocrisie? ‘’
La sortie du journaliste Madiambal semble rester à travers de la gorge de l’entourage du chef religieux Serigne Modou Kara. Du coup, la réplique n’a pas tardé. Cette fois ci, c’est le fils dudit chef religieux qui est monté aux créneaux pour répondre à celui qu’il traite ‘’d’hypocrite ou haineux’’.
“Madiambal Diagne (…) Haine ou hypocrisie?
Je me permets cette fois d’enfreindre les règles de la bienséance
pour vous dire Madiambal Diagne, vous êtes un menteur doublé de
malhonnête.
Comment pouvez-vous dire qu’il «est de notoriété publique que le
Diwaan, nom du groupement de fidèles du guide religieux, cache des
trafics en tous genres»
Quel mensonge de dire que les fidèles du guide sont munis d’armes à feux bien visibles! Mais Quel mensonge!
Vous
pouvez avoir votre propre lecture, avoir votre opinion mais aller
jusqu’à mentir devant tous les sénégalais, là vous exagérez.
Vous
mentez encore quand vous dites que le guide insulte ou menace de mort
des journalistes et chefs d’opinion. Autre mensonge Madiambal.
Votre haine envers le Général de Bamba ne date pas d’aujourd’hui,
rien qu’entendre son nom vous met mal à l’aise et j’en suis témoin.
Madiambal,
le Diwaanu Silkoul Jawahir ne mérite pas le traitement que vous lui
infligez. Depuis sa création en 1995, il n’a cessé d’être à la rescousse
des populations en ayant comme crédo «Œuvrer pour Dieu à travers les
hommes».
Les multiples actions sociales faites par le Diwaan sous l’ordre
de son président fondateur sont inoubliables, indélébiles. Je peux citer
le désherbage des cimetières, des hôpitaux, les dons de sang dans les
hôpitaux et centres de transfusion sanguine, l’assistance envers les
populations victimes d’inondations dans la banlieue et à Touba, sans
oublier l’éducation et la formation de jeunes sénégalais perdus et ou
dans le désespoir.
La mission du Diwaan ne diffère point avec celle de l’Islam, qui
est de cultiver la paix, de vivre dans le droit chemin, de respecter nos
aînés, d’avoir pitié à nos cadets, d’aider son prochain. Nous avons
décidé de récupérer les âmes égarées, mission que nous assumons et
comptons poursuivre jusqu’à notre dernier souffle.
Le chien aboie mais la caravane finit toujours par passer.
S’il y’a quelques choses que vous devez dire au Général de Bamba, nom qui vous fend le cœur, c’est MERCI, tout simplement.
Ah! J’ai failli oublier que votre cœur est aussi sombre que l’enfer est ténèbres, vous ne le ferez jamais.
Bëtt bu russul todj Madiambal, te mag du fenn.
Par votre soi-disant «ami et Seriñ», Abdou Khoudoss Mbacké dit Abdoul”