La République de Madagascar a demandé au Nigéria de payer N78,2 millions pour le montant de son remède à base de plantes contre le coronavirus envoyé au gouvernement fédéral .

Naija News avait rapporté plus tôt que le président Muhammadu Buhari avait reçu le remède à base de plantes contre le coronavirus de Madagascar au cours du week-end du président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embalo, qui avait rendu visite au président à la State House à Abuja, la capitale du Nigeria.

Une source proche de la demande de Madagascar pour son traitement contre le coronavirus a déclaré: «Pour nos transferts en Guinée Bissau, Madagascar a demandé au Nigeria de payer plus de 170 000 € (N78, 200 000). Nous avons obtenu le reçu à la lumière du fait que la nation africaine nous a fait comprendre que les médicaments ne sont pas distribués gratuitement. – Une source a déclaré dimanche

«On nous demande de payer les médicaments qui n’ont pas encore été approuvés. Depuis que l’UA a guidé gracieusement les médicaments vers les nations africaines, nous n’avons peut-être pas d’autre issue que de payer pour cela.

«Cette tranche peut, tout de même, être unique au motif que l’importation massive de médicaments de Madagascar ne sera pas financièrement avisée. Lorsque nous considérons les frais de fret, la somme sera excessivement élevée.

«C’est la raison pour laquelle nous jetons un coup d’œil aux alternatives à proximité accessibles à nous en tant que pays.

«Quelques scientifiques nous ont révélé que nous avons des herbes plus extravagantes pour contenir COVID-19. À vrai dire, un magasin à Wuse 2, Abuja a été trouvé pour vendre du thé Artemisia avec une intensité plus élevée que les médicaments COV.

«En tant que pays, nous laisserons tous les choix ouverts et regarderons vers l’intérieur. Dans tous les cas, nous exposerons les médicaments locaux de Madagascar à confirmation ou approbation.

«Le groupe de travail présidentiel (PTF) sur le COVID-19 envisage en outre d’approcher l’Agence nationale pour l’administration et le contrôle des aliments et drogues (NAFDAC) et l’Institut national de recherche et de développement pharmaceutiques (NIPRD) pour assouplir les conventions et hâter l’approbation. de médicaments à proximité pour COVID-19 », a ajouté la source.